mercredi 21 février 2007

Reporters sans frontières s’inquiète du projet de "commission de déontologie" pour les services de communication en ligne

France16.02.2007

Reporters sans frontières s’inquiète du projet de "commission de déontologie" pour les services de communication en ligne

Un projet de décret portant sur la création d’une "Commission de déontologie des services de communication au public en ligne" est sur le point d’être adopté par le gouvernement. Reporters sans frontières considère que ce texte, qui ne devait initialement porter que sur la protection de l’enfance, donne des compétences trop larges, et surtout mal définies, à cette commission.

"L’organe créé par ce décret n’est pas uniquement consultatif, puisqu’il aura la possibilité d’accorder et de retirer des labels de confiance aux services de communication en ligne, notamment aux hébergeurs de sites et de blogs, aux fournisseurs d’accès Internet et aux opérateurs de téléphonie mobile. Or, nous considérons que le périmètre d’action de cette commission, dont tous les membres sont nommés par la Premier ministre, n’est pas assez clairement défini. Nous craignons que ce texte ne pousse les prestataires de services à censurer abusivement leurs contenus pour préserver leur label. Nous l’avons dit et répété lors des débats sur la Loi sur la confiance dans l’économie numérique (LCEN) : il est dangereux de faire peser sur des fournisseurs de services la responsabilité de réguler les contenus auxquels ils donnent accès. Nous comprenons l’importance de protéger les mineurs de contenus dangereux, mais il nous semble que ce texte va bien au-delà de ce problème et nous insistons sur les effets pervers de cette réglementation, que le gouvernement semble vouloir adopter dans l’urgence."

Le projet de décret, présenté par le ministère des Finances et de l’Industrie, pourrait être adopté dans les prochains jours. Il concerne les "services de communication au public en ligne", une formulation floue qui inclue les prestataires techniques de l’Internet et de téléphonie mobile, mais qui n’indique pas si les sites Internet d’informations seront eux aussi l’objet d’une labellisation. Dans son article 1er, le décret indique viser à protéger "les mineurs" et à assurer le "respect de la dignité de la personne humaine", des concepts extrêmement larges et qui ne sont pas définis plus précisément dans la suite du texte.

La commission aura la possibilité de retirer son label de confiance à tout service de communication qui ne respecterait pas les principes déontologiques qu’elle aura édictés. Elle suspendra ainsi une épée de Damoclès au-dessus de ces entreprises, qui auront la tentation de supprimer tout contenu risquant de leur faire perdre leur label de qualité.

Les 23 membres de cette Commission sont nommés pour cinq ans par arrêté du Premier ministre. Ils se répartissent entre : un membre du Conseil d’Etat ; un magistrat de la Cour de cassation ; des représentants des ministères de la Justice, de l’Intérieur, des Communications, de l’Education, de la Culture, des Technologies de l’Information et de la Famille ; sept représentants des usagers et sept représentants des professionnels des services de communication au public en ligne.

P2P et DADVSI, la politique pénale est enfin connue ( PC INpact)

Ce qui va suivre est juste un copier coller de l'article du Mardi 20 février 2007 à 17h20, rédigé par Marc Rees
merci Marc


A quelle sauce le P2Piste sera-t-il mangé ?


Le texte était attendu et promis depuis quelques mois. Le ministre de la Justice a donc signé le 3 janvier la circulaire d’application de la loi DADVSI. Un document (pdf) important à plus d’un titre puisqu’il définit la politique pénale des parquets face à des cas de téléchargements ou de mises à disposition illicite.

La circulaire rappelle d’abord tout le régime applicable depuis la loi du 2 août, sous tous ses aspects : protection pénale contre les contournements de protection, diffusion de logiciel P2P ou d’informations incitant à l’usage d’un tel logiciel, downloading et uploading de données protégées, etc. Voilà quelques élements d'analyse, avant une étude plus profonde.

Logiciels P2P : quelles sanctions ?

On le sait, la DADVSI torpille l’édition et la distribution des logiciels P2P « les logiciels manifestement destinés à la mise à disposition du public non autorisé d’oeuvres protégées ». La peine est portée jusqu'à trois ans d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende.

Le ministre note, avec une jolie lapalissade, que celui qui édite ou distribue un logiciel P2P non conçu ou spécialement configuré pour permettre l’échange de fichiers contenant des œuvres contrefaites ne saurait tomber sous le coup de l’incrimination.

Mais on ne sait pas davantage ce qu’est ou non un logiciel « spécialement conçu » pour l’échange de données protégées. Est-ce un logiciel qui ne contient aucune mesure de filtrage basée sur les DRM ?

Pour les éditeurs concernés, s’il y en a, le ministre recommande « des peines principales hautement dissuasives, ainsi que des peines complémentaires adaptées ». Sont évoqués :
  1. La confiscation des recettes procurées par ses activités, sommes remises à la victime pour l'indemniser
  2. La publication du jugement dans la presse ou sur Internet, « en particulier pour les annonceurs » (peine infamante)
  3. La fermeture de l'établissement ayant servi à commettre l'infraction
  4. L'interdiction d'exercer l'activité d'édition ou de distribution de logiciels.
Mise à disposition : l’échelle des peines

S’agissant de l’upload de données, la notion de riposte graduée, qui fut pourtant invalidée par le conseil constitutionnel, retrouve une certaine vigueur. Il est demandé aux parquets d’opérer une graduation, en distinguant par ordre décroissant de gravités, ces comportements :
  1. Mettre à disposition du contenu (film, musique, etc.) en avant-première sur le net avant toute mise à disposition du public officielle (sortie au cinéma, en bac, en DVD, etc.). Il s’agira de l’acte le plus grave, et donc le plus sévèrement puni
  2. La mise à disposition de contenu rapidement, peu après leur commercialisation, sera moins sanctionné.
  3. La participation délibérée à une diffusion illicite d’un contenu, échangé ou commercialisé depuis longtemps, sera le moins grave.

photo dadvsi manifestationLa peine maximale est là encore 300 000 euros d'amende et 3 ans de prison.

Fait important voire crucial : n’entre pas cette catégorie « l’internaute qui télécharge en violation d’un droit d’auteur (…) et, ce faisant effectue une mise à disposition accessoire au téléchargement ».

L'internaute qui a opté pour une mise en partage automatique des fichiers downloadés ne pourra donc être poursuivi que pour download prohibé.

Téléchargement : entre peines sévères et légères

Il est prévu, à titre préventif, que les FAI devront, à leurs frais, adresser des messages de sensibilisation à leurs abonnés. Malgré cela, « le téléchargement qui serait effectué tombe sous le coup de la loi pénale au titre de la contrefaçon ».

On retrouve là encore la riposte graduée, appliquée pour le download et le même niveau de peine. Ceux qui téléchargent des œuvres, se situent ainsi à un niveau moindre de responsabilité que ceux qui sont à la source et alimentent les circuits. C’est un peu la même différence que l’on retrouve en matière de consommation de stupéfiants.

Le ministère de la Justice demande aux procureurs de « regarder I'intemaute auteur de téléchargements sans mise à disposition accessoire comme étant situé en dernière position » de l’échelle de gravité. Pour ces internautes : seules les peines pécuniaires sont demandées. Mais cette amende sera aggravée en fonction de plusieurs critères :
  1. L'auteur du téléchargement est récidiviste
  2. Il a téléchargé un grand nombre d'œuvres
  3. Il a téléchargé des œuvres avant leur sortie officielle
  4. il a téléchargé avec mise à disposition automatique, élargissant le cercle de redistribution
MPAA Un cumul entraînera des peines plus sévères. Aucun de ces critères n’aura été retrouvé chez ce particulier ? La peine la plus légère s’appliquera.

Pour tenter de couper court à toute discussion, le ministre de la Justice précise au passage qu’« en matière de téléchargement d’œuvres proposées illégalement sur Internet, l'exception de copie privée n'a pas vocation à être retenue », en prenant appui sur la loi DADVSI et deux arrêts de la Cour de cassation (test dit en trois étapes).


Mardi 20 février 2007 à 17h20, rédigé par Marc Rees
Source de l'INformation : juriscom


mardi 20 février 2007

Théatre en danger

je me permet de mettre ce courrier , qui peut paraître un peu perso,

mais qui nous concerne tous

le théatre , lieu ou s'exprime nos vies


Bonjour,

Suite a notre dernier communiqué, nous pensons qu’il est temps aujourd’hui de vous tenir au courant de l’évolution de notre situation. Tout d’abord le conseil général et le conseil régional, comme ils s’y étaient engagés, ont bien avancé le vote des subventions 2007, sur la base des montants de 2006 ; ce qui résout le problème de trésorerie à court terme. En revanche, aucune réponse concrète quant à la pérennisation du Théâtre du Pont Tournant. Suite à nos demandes d’audiences avec les élus de nos quatre principaux partenaires, nous n’avons toujours pas rencontré Monsieur le député-maire de la ville de Bordeaux, Alain Juppé, ni les présidents du conseil régional, Alain Rousset, et du conseil général, Philippe Madrelle.

L’état :

Nous tenons à vous informer de l'aspect très positif de notre rendez-vous au Ministère de la Culture. Monsieur Pariente, conseiller technique théâtre au cabinet du ministre de la culture, nous a affirmé l'indéniable intérêt de l'État pour le Théâtre du Pont Tournant ; nous reconnaissant un rôle non seulement local, mais aussi national et international, pilier de la décentralisation. Par ailleurs, Monsieur Pariente est en accord avec nous quant à l’hypothèse de la baisse d’activité qui lui semble inadéquate. Il s'étonne par ailleurs qu'il puisse y avoir une disparité de 1 à 20 pour l'État et de 1 à 15 pour la Mairie de Bordeaux dans les subventions attribuées à des lieux intermédiaires équivalents (Théâtre du Pont Tournant - Glob - TNT). Il préconise la signature d'une convention au minimum triennale et a bien compris que les 40 000€ demandés par institution étaient la somme minimale pour continuer l'activité d'intérêt général du Théâtre du Pont Tournant et qu'une homogénéisation des aides apportées aux lieux intermédiaires serait souhaitable.


Théâtre du
Pont Tournant

Glob théâtre

T.N.T

Mairie de Bordeaux

15 000 €

70 000 €

146 470 €

Conseil Général

27 500 €

46 000 €

46 000 €

Conseil Régional

18 000 €

45 000 €

54 000 €

DRAC

10 000 €

69 800 €

193 000 €

TOTAL

70 500 €

230 800 €

439 970 €


Ce dernier a contacté Madame Irène Ajer, chef de service de l’inspection et d’évaluation de la DMDTS (Direction musique danse théâtre et spectacles vivants) pour s’assurer du suivi de notre dossier au sein de la DRAC.

A ce jour, Monsieur Girard, conseiller théâtre de la DRAC Aquitaine, nous affirme ne pas être tenu au courant du contenu de notre réunion au ministère. Il nous demande même d’analyser nos difficultés afin de cerner le véritable problème de notre structure. Nous l’avons tout de suite renvoyé sur les chiffres énoncés dans le tableau ci-dessus, lui rappelant que Monsieur Pariente nous a dit qu’à sa connaissance aucun lieu ayant un travail d’intérêt général ne fonctionnait avec si peu d’aide publique.

Conseil régional :

Dans l’attente de l’audience demandée à Monsieur Rousset, président du conseil régional et Madame Cartron, élue à la culture, nous avons été conviés par Monsieur Luc Trias, du cabinet du président pour exposer nos difficultés. Nous avons montré le rayonnement du Théâtre du Pont Tournant sur toute la région, ainsi que le travail d’inter-régionalité mis en place depuis plusieurs années. Nous avons également prouvé notre soutien aux compagnies régionales de façon probante ; en effet, sur une soixantaine de compagnies subventionnées par le conseil régional, 31 d’entre elles ont été reçu au Théâtre du Pont Tournant pour créer leur spectacle, tout au long de ces 9 dernières années. Nous réitérons notre demande d’audience auprès du président, convaincus, que seule la volonté des plus hauts élus de nos collectivités territoriales ont le pouvoir de faire évoluer concrètement la situation.

Conseil général :

Nous devions rencontrer Monsieur Philippe Madrelle, président du conseil général de la Gironde, ce dernier ayant été sensibilisé sur notre situation par un de nos salariés, et choqué par les propos tenus lors de la dernière réunion quadripartite. C’est pourquoi nous avons été reçus en urgence par son cabinet. Malheureusement ce dernier, pris part un empêchement de dernière minute, n’était pas présent lors de notre réunion à son cabinet, notamment avec Monsieur Eric Desgaret et Madame Martine Faure. Nous avons également ultérieurement rencontré Monsieur Philippe Dorthe. Le conseil général est toujours aussi sensible à notre action et se montrerait prêt à augmenter les subventions si l’état et la municipalité s’engageaient à la hauteur de nos attentes.

La mairie :

Monsieur Ducassou, élu à la culture à la mairie de Bordeaux « persiste à dire que Monsieur ALVAREZ et son équipe font beaucoup de choses, ce qui creuse leur déficit, car que je sache à aucun endroit au monde la billetterie n'est source de recettes significatives sauf à faire payer, ce qui n'est pas le cas ici, les places à la réalité du coût du spectacle. Ainsi, au cours des trois dernières semaines, trois représentations différentes ont été programmées ; ce qui est bien en valeur absolue mais irréaliste au sein d'une structure de quartier. Par ailleurs, Monsieur ALVAREZ et son équipe font beaucoup de choses en dehors du Théâtre du Pont Tournant et sur la même dotation budgétaire, certaines étant même d'ailleurs extérieures à Bordeaux s'agissant notamment de l'action éducative qu'ils ont à Langon et en d'autres lieux en Gironde. De telles prestations sont également sources de dépenses car nous savons tous que ce n'est pas l'Education Nationale qui compense ces dernières. »

Voici notre réponse :

Tout d'abord sur la baisse d'activité que vous préconisez, prenons, si vous le voulez bien l'exemple cité des 3 spectacles donnés au cours de ces 3 dernières semaines : ces accueils n'ont pas engendré de dépenses supplémentaires au Théâtre du Pont tournant car, comme dans la majorité de nos accueils, les contrats qui nous lient aux compagnies sont des contrats de coréalisation ; nous n'injectons pas d'argent dans la part de création des compagnies sur ce type de contrat. Que nous ayons des représentations ou non, les charges fixes restent les mêmes ( loyer, salaires des permanents, taxes diverses ). Or, ayant des représentations publiques, la billetterie est un apport bénéficiaire non négligeable. Les 3 spectacles de ces 3 dernières semaines ont été très suivis par le public bordelais (1430 spectateurs, sur 13 jours d’exploitation) et ont rapporté la somme de 12 300 €.

Ces chiffres montrent bien le réalisme du rayonnement du Théâtre du Pont Tournant sur la CUB, dépassant par là-même les limites propres de notre quartier.

De plus, ces trois dernières semaines ont également permis à des diffuseurs nationaux (Dax, Roquefort, Royan, Saint-Gaudens, Paris) de venir découvrir des spectacles bordelais ; spectacles qu'ils ont d'ailleurs décidés d'acheter pour leur programmation l'année prochaine, pérennisant notre activité et celles des compagnies reçues.

D'autre part, les 1111 heures d'éducation artistiques dispensées par le Théâtre du Pont Tournant l'année dernière en milieux scolaire, périscolaire et insertion sociale (sur tout le département mais également à Bordeaux) ont toutes été facturées en prestation de service. Leur coût global intègre les salaires des intervenants, les charges sociales, les frais de déplacement et un bénéfice pour la structure. Je vous rappelle que même les heures effectuées pour l'éducation nationale sont financées par le rectorat, la DRAC et pour certaines, par le Fonds européen (Projet Comenius).

Nous vous rappelons également que ces actions sur le département drainent un public de parents et d'élèves sur le territoire bordelais.

Pour ce qui est du travail de la Compagnie du Théâtre du Pont Tournant, nos spectacles sont diffusés sur le territoire national et international sous forme de contrat de cession (prix global comprenant salaires, charges sociales, amortissement et bénéfice). Notre compagnie n'est pas soutenue par la Ville de Bordeaux. Et faut-il rappeler que la saison dernière, nos spectacles joués dans le XVIe arrondissement à Paris ont engendré un bénéfice non négligeable qui a permis de compenser la fragilité financière du Théâtre du Pont Tournant à Bordeaux-Bacalan. Nous vous rappelons que la subvention demandée à la Mairie de Bordeaux ne sert qu'à participer aux frais fixes du Théâtre du Pont Tournant, et que nos autres activités ne sont pas sur la même dotation budgétaire.

Bilan provisoire :

Comme vous pouvez le constater rien n’est encore garanti quant à la pérennisation du Théâtre du Pont Tournant. A ce jour nous avons reçu plus de 6000 signatures, nombre d’entre vous désirent s’impliquer dans un débat participatif et souhaitent connaître le montant des subventions alloué par les collectivités territoriales dans le domaine culturel. Vous trouverez ces chiffres sur notre site (http://www.theatre-pont-tournant.com/article-5710428.html ), téléchargeables en .pdf.

Nous vous encourageons, comme beaucoup d’entre vous l’ont déjà fait, à témoigner votre soutien, vos impressions, vos idées. Les témoignages donnés par mail seront relayés à vos élus.

Toute l’équipe du Théâtre du Pont Tournant est extrêmement sensible à votre mobilisation et touchée par votre implication ; nous montrant par-là même la force de notre lieu culturel citoyen.

Nous souhaitons également remercier les nombreux artistes qui nous manifestent leur solidarité non seulement par leurs courriers de soutien mais également par l’organisation de soirées de soutien au profit du Théâtre du Pont Tournant. Ces soirées auront lieu le trimestre prochain. Nous rappelons également que le meilleur moyen de nous soutenir est de continuer à venir nombreux pour que le pluralité culturelle subsiste à Bordeaux.

L’équipe du Théâtre du Pont Tournant

lundi 19 février 2007

Des petites nouvelles du collectif. RSR

Merci a la Team Revolution Sound Records

LIBRE SESSION II:

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En partenariat avec http://www.dogmazic.net.

22 FEVRIER, Salle Le Balthazar, MARSEILLE.
Avec : GODON + MIERCOLES + LE SAC A BOULONS

Accueil et stands , 19H30 - Concert 22h

La seconde édition des sessions libres sur Marseille, à ne manquer sous aucun prétexte!!
Faites tourner l' info, relayer auprès de vos contacts de la région 13.
infos:
http://www.revolutionsoundrecords.org/punbb/viewtopic.php?id=1223

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TROIS P'TITS POINTS
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*24 février, salle Mascaret à Blanquefort (33),
*Le 03/03 Aire sur l'Adour (40) : festival le ver solidaire année zéro.

http://www.revolutionsoundrecords.org/punbb/viewtopic.php?pid=11654#p11654
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PIÈGE A REVES
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concert acoustique au bar restaurant les 4 saisons à Bernex 74500, le samedi 3 mars 19h30.


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A ÉCOUTER,DÉCOUVRIR,PARTAGER:

* LE TAKE THE BUS PROJECT 17:
Le voyage continue avec l' opus 17 du TTBP, aux couleurs indie et orientales.

infos:
http://www.revolutionsoundrecords.org/punbb/viewtopic.php?id=51&p=1

* M.D.
Un album :Suavitude est dispo
http://www.revolutionsoundrecords.org/punbb/viewtopic.php?id=1328

Une tracks, à la direction inhabituelle pour M.D.
The suffering, qui a donné lieu a plusieurs remix par la team RSR ( ERMC, DEAD JOSHUA, THE E SOUND PROJECT)
http://www.revolutionsoundrecords.org/punbb/viewtopic.php?id=1345

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Le site va se doter progressivement de nouvelles fonctions... passez y de temps en temps.

Pour toutes infos/demandes:
revolutionsoundrecords@hotmail.fr

jeudi 15 février 2007

Qu'est-ce qu'RSR ?

merci a collegue de RsR
Le collectif RSR est né du désir et de la volonté d'artistes de rendre la culture accessible par et pour tous, désireux de permettre au public de découvrir gratuitement et légalement les oeuvres d'artistes non standardisés.
Pour ce faire RSR a choisi le mouvement du libre et de la libre diffusion. RSR souhaite faire connaître les artistes libres de tous les horizons dans un esprits d'entraide, d'échange et de partage.
Plus qu'une plateforme de téléchargement, nous voulons être un élan militant en ces temps de luttes entre deux visions de la société opposant un désir économique d'uniformisation à un désir humaniste de "diversité partagée" (richesse économique ou richesse culturelle).

-Qu'est-ce qu'RSR ?

Nous sommes un collectif d'artistes du mouvement du libre et de la libre diffusion, souhaitant faire découvrir et mettre à la disposition de chacun nos créations en utilisant le net et tout autre moyen de diffusion.
Par artiste nous entendons musicien mais aussi photographe, écrivain, sculpteur, peintre etc...
L' action du collectif, basée sur le net, peut s' étendre au-delà de la toile par le biais de son asso loi 1901, par le soutien ou l' organisation de manifestation libre.
L'association "collectif RSR " s'engage, ainsi que les artistes qu'il représente, à ne pas entrer dans le système des corporations du disque, de l' industrie du divertissement, du pouvoir d'achat et de la surconsommation . Le collectif veut défendre réellement les droits des artistes et leurs oeuvres sans en tirer de profit quel qu'il soit ( notion de NO PROFITS)
Nous soutenons la culture dans son contenu et sa richesse le plus vaste possible.

-L'éthique:

RSR est un collectif basé sur l'entraide, l'échange, le partage et la communication. Indépendants, les membres de ce collectif partagent les mêmes convictions et les mêmes passions : la défense de la liberté et le droit d'être entendu.
Nous nous unissons afin de diffuser librement nos oeuvres et nos réalisation hors du parcours des grandes Majors et industries du disques, du divertissement.
Les artistes présents dans notre collectif n'ont pas déposé leurs oeuvres dans un organisme spécialisé comme la sacem, la SACD, sabam ou autres organismes du même genre.
La démarche des artistes du collectif s' ancre fortement dans le mouvement du libre et de la libre diffusion, par l' adoption des licences dites "libres" ( creative commons ou art libre) pour l' ensemble de leurs oeuvres.
Rsr ayant la volonté de promouvoir l' ensemble des alternatives issus du mouvement du libre, nous mettons en avant les logiciels libres ainsi que les formats audio non- propriétaires comme le .OGG sur notre site internet mais aussi lors de nos diverses manifestations. Ainsi , au dela de l' aspect artistique, Rsr souhaite crée des passerelles vers toutes les initiatives alternatives ( logiciel,format de compression, système d' exploitation, environnement...)

RsR adhère à la CHARTE ZONE LIBRE , texte qui énumère les valeurs, principes et pratiques qu'un site, un lieu, une publication, une oeuvre, un document ou toute autre Ressource consultable applique, en vue de garantir au Consultant l'accès libre, de manière permanente, à la ou les Ressources concernées, sans crainte de poursuites judiciaires, de déconnexions intempestives par un fournisseur d'accès internet, de perquisitions ou de saisies au domicile ou ailleurs, ou encore d'accusations infondées, avec impossibilité de faire valoir ses droits, même élémentaires.


Le collectif refuse et refusera la mise en place d' un quelconque systeme de gestion des droits
numeriques .

DRM= pouvoir paramétrer et contrôler, au moyen d'une mesure technique de protection, un
contenu de manière beaucoup plus étroite. En effet, il est d'ores et déjà possible de personnaliser le
détail de la diffusion d'un fichier commercialisé, le nombre de copies possibles sur différents
supports, le nombre d'ouvertures possibles ou la durée de validité.


Nous défendons le concept de l'art et du partage dans l'art avec et par des artistes ayant les
mêmes convictions, la même passion : le partage, la défense de leur liberté, le droit d'être
entendu.

Notre action se base aussi sur la notion de diversité culturelle :

En 2001 l" UNESCO declare ( in la déclaration universelle sur la diversité culturelle
http://www.unesco.ch/pdf/declaration_di … urelle.pdf)
Art 1
"La culture prend des formes diverses à travers le temps et l'espace. Cette diversité s'incarne dans
l'originalité et la pluralité des identités qui caractérisent les groupes et les sociétés
composant l'humanité. Source d’échanges,d'innovation et de créativité, la diversité
culturelle est, pour le genre humain, aussi nécessaire qu'est la biodiversité dans l'ordre du
vivant. En ce sens, elle constitue le patrimoine commun de l'humanité et elle doit être reconnue et
affirmée au bénéfice des générations présentes et des générations futures."


Article 6 - Vers une diversité culturelle accessible à tous.

Tout en assurant la libre circulation des idées par le mot et par l'image, il faut veiller à ce que
toutes les cultures puissent s'exprimer et se faire connaître. La liberté d'expression, le pluralisme
des médias, le multilinguisme l'égalité d'accès aux expressions artistiques, au savoir scientifique et
technologique - y compris sous la forme numérique – et la possibilité, pour toutes les cultures,
d'être présentes dans les moyens d'expression et de diffusion, sont les garants de la diversité
culturelle."


Enfin, Nous ne pouvons accepter, pour des raisons évidentes, des groupes ou artistes prônant des idées d' exclusions, racistes, antisémites, injurieux, discriminatoires, ou mettant en cause l' intégrité des personnes ou groupe de personnes...Bien qu' engagé et militant , le collectif rsr se veut hors de toutes tendances ou partis politiques.

De façon évidente, La démarche de rejoindre rsr est basée sur le volontariat, , l' adhésion à l' association, l' acceptation des statuts et de la charte assise et fondement de notre action.


Les buts:

Le collectif RSR se donne pour objet de favoriser, développer et promouvoir :
*les artistes et toutes actions culturelles
* la création & l’exploitation musicale indépendante dans le cadre des licences libres.
*Militer pour la gestion individuelle des droits d’auteur auprès des sociétés civiles, organisateurs de
spectacles, labels & diffuseurs.
*Informer les artistes & le public sur les modes émergents de diffusion & d’exploitation des oeuvres
musicales à l’ère numérique & sur l’économie qui en découle....
* tous autres moyens propres à favoriser les activités de l'association, la diffusion et la promotion
des artistes, du mouvement de la libre diffusion...
*Diffuser sur son site Internet www.revolutionsoundrecords.org les morceaux de groupes de
musique sous licence libre ( ou les morceaux/les oeuvres des artistes composant le collectif
revolution sound records)
* Des actions et des activités professionnelles ou en voie de professionnalisation, dans un champ
d’intervention artistique, culturel, éducatif et social
* La formation des hommes et des femmes, leur participation à la pratique culturelle, voire à leur
insertion sociale et professionnelle.
* Produire, réaliser, créer, diffuser des productions culturelles destinées à tous les publics, ainsi
que d’autres formes d’expression artistique, dont les productions d’artistes amateurs.
*Elle peut également animer, gérer, administrer et représenter d’autres structures de spectacles
similaires ou apparentées.
* Elle se donne également la possibilité, par tous les moyens légaux, d’aider à l’organisation
d’autres structures de spectacles.



[RSR vous souhaite la bienvenue dans cette zone ou la diversité culturelle est defendue et mise
en avant. Bonnes découverte

mercredi 14 février 2007

la démocratie de la Terre , de la Vie

Les Puissants de ce monde veulent le pouvoir ultime
celui de controler la vie
et ça passe par l'agro-alimentaire
OGM pour résumer je vous invite a regarder cette Video
Ensuite a vous de vous faire une opiniojn et d'Agir